La prophétie oubliée de Nostradamus refait surface suite au décès du souverain pontife

Publié le 25 avril 2025

Le décès du pape François a ravivé l'intérêt pour une ancienne prédiction énigmatique attribuée au célèbre voyant. Ce texte mystérieux, longtemps tombé dans l'oubli, suscite aujourd'hui interrogations et spéculations. Simple coïncidence ou vision prémonitoire ? La controverse est relancée.

La disparition du pape François : un deuil planétaire

Ce lundi matin, vers 7h30, le cardinal Kevin Farrell a confirmé l’information redoutée : le souverain pontife François a rendu son dernier souffle après avoir subi un grave AVC. Surnommé affectueusement le « pape des humbles » pour son engagement envers les plus démunis, son départ crée une profonde émotion à travers le globe.

Lors de sa dernière apparition publique, le jour de Pâques, ses paroles résonnent encore dans les mémoires : « Chers frères et sœurs, je vous souhaite de joyeuses Pâques. » Malgré sa fatigue évidente, il avait tenu à offrir une ultime bénédiction à ses fidèles, démontrant son dévouement inébranlable.

Une ancienne prédiction resurgit dans l’actualité

Dans les heures suivant l’annonce, un fragment des Prophéties attribuées à Nostradamus a envahi les plateformes numériques et les journaux du monde entier. Rédigé en 1555, ce passage énigmatique suscite l’interrogation :

« Après la disparition d’un pontife très âgé… un Romain avancé en années sera choisi. Certains prétendront qu’il affaiblit son trône… pourtant il règnera longuement avec une ardeur infatigable. »

Cette description semble correspondre étrangement à François, élu à 76 ans, qui a mené son pontificat avec une énergie remarquable malgré les défis. Mais une autre citation, plus troublante encore, alimente les débats :

« Durant l’ultime persécution de la Sainte Église romaine, Pierre le Romain occupera le siège […], et lorsque ces événements s’achèveront, la ville aux sept collines sera anéantie, et le juge terrible jugera son peuple. La Fin. »

Le successeur pourrait-il être cette figure mystérieuse ?

Pour les adeptes d’ésotérisme, cette coïncidence est troublante : le futur chef de l’Église catholique pourrait correspondre à ce « Pierre le Romain », censé présider aux derniers bouleversements de l’institution religieuse. Certains y discernent l’annonce d’un tournant décisif pour la chrétienté.

Cependant, les rationalistes soulignent que les transitions papales présentent souvent des similitudes : des souverains pontifes âgés se succédant dans des périodes de crise. Ils rappellent aussi que les écrits de Nostradamus sont délibérément obscurs, permettant toutes les lectures.

Une onde de sympathie internationale

Au-delà des spéculations, une émotion sincère traverse les continents. François, personnalité attachante et progressiste, reçoit des marques de respect venues des quatre coins de la planète.

Donald Trump a rendu hommage à un « homme de grande foi ». Le roi Charles III a partagé sa « douleur immense » tout en saluant son « engagement inlassable pour l’unité des croyants ». Les représentants des principales religions, du grand rabbinat d’Angleterre à l’archevêque d’York, ont unanimement loué sa tolérance et sa sagesse.

Sa dépouille repose maintenant dans la basilique Saint-Pierre, où des vagues de pèlerins se pressent pour un dernier hommage. Une foule recueillie, empreinte d’une émotion palpable.

Entre mythe et vérité : quelle lecture adopter ?

Nostradamus continue de captiver les imaginations. Pour certains, c’est un prophète inspiré, pour d’autres un maître de l’ambiguïté dont les quatrains s’adaptent à toutes les époques. Qu’on accorde ou non du crédit à ces prédictions, leur résurgence lors d’événements majeurs révèle notre besoin humain de trouver des signes dans l’adversité.

Si ces prophéties alimentent les conversations, elles ne doivent pas occulter l’œuvre accomplie par François. Car c’est bien par ses actions concrètes, son humanité et sa vision progressiste que le premier pape latino-américain marquera durablement les mémoires.